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Auteur Valérie Rolle |
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L'art de tatouer / Valérie Rolle / Editions de la Maison des sciences de l'homme (août 2013)
Titre : L'art de tatouer Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie Rolle Editeur : Editions de la Maison des sciences de l'homme, août 2013 Collection : Ethnologie de la France, ISSN 0758-5888 num. 34 Importance : 388 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7351-1615-7 Langues : Français (fre) Catégories : ARTS GRAPHIQUES
ARTS APPLIQUES
ENTREPRISE ARTISANALE
METIER DE L'ESTHETIQUERésumé : Comment devient-on tatoueur aujourd’hui ? La Suisse est le terrain de la thèse soutenue en 2011 par Valérie Rolle et refondue dans cet ouvrage. La vie professionnelle des tatoueurs est appréhendée de l’intérieur à l’aide d’entretiens avec 23 professionnels (dont 5 femmes), d’observations directes, notamment de l’iconographie des studios, et de l’analyse de 8 magazines spécialisés, entre 1992 et 2008. L’ouvrage est divisé en trois parties : savoir-être, savoir-faire et savoir-vivre. Ces trois facettes permettent de mieux comprendre l’exercice professionnel du tatouage, largement autogéré alors même qu’il est progressivement encadré par des règles administratives et/ou sanitaires. Note de contenu : Remerciements. Introduction. Partie I : Savoir-être. 1. Jeux de rôles. 1.1. Les studios de tatouage, des professionnalités mises en scène. 1.2. Faire « bonne figure » : être tatoué, disponible et expert. 1.3 Des « entrepreneurs de la morale » ? La négociation des projets
2. Un travail de coproduction. 2.1. Gérer les émotions : l'incorporation d'un savoir-être. 2.2. Catégoriser pour mieux servir et subsister. Partie II : Savoir-faire. 3. Le goût du figuratif. 3.1. La réglementation des studios : une focale sanitaire réductrice
3.2. Tatouer : maîtriser des savoir-faire indissociables mais hiérarchisés. 3.3. Des qualités graphiques des tatouages à la qualification des tatoueurs. 4. L'efficacité des images. 4.1. Vers une standardisation des contenus ? La circulation des sources d'inspiration
4.2. La construction d'un univers visuel : jeux d’influence. Partie III : Savoir-vivre. 5. Persévérer pour entrer. 5.1. Les barrières à l’entrée : processus informels de sélection. 5.2. Du don de soi pour subsister dans un monde de concurrence. 6. Le grand, le bon et l’amateur. 6.1. Le poids des réseaux de sociabilité dans les formes de la reconnaissance. 6.2. L’art du métier, la prévalence de l’excellence sur l’exceptionnalité. Conclusion.L'art de tatouer [texte imprimé] / Valérie Rolle . - Editions de la Maison des sciences de l'homme, août 2013 . - 388 p.. - (Ethnologie de la France, ISSN 0758-5888; 34) .
ISBN : 978-2-7351-1615-7
Langues : Français (fre)
Catégories : ARTS GRAPHIQUES
ARTS APPLIQUES
ENTREPRISE ARTISANALE
METIER DE L'ESTHETIQUERésumé : Comment devient-on tatoueur aujourd’hui ? La Suisse est le terrain de la thèse soutenue en 2011 par Valérie Rolle et refondue dans cet ouvrage. La vie professionnelle des tatoueurs est appréhendée de l’intérieur à l’aide d’entretiens avec 23 professionnels (dont 5 femmes), d’observations directes, notamment de l’iconographie des studios, et de l’analyse de 8 magazines spécialisés, entre 1992 et 2008. L’ouvrage est divisé en trois parties : savoir-être, savoir-faire et savoir-vivre. Ces trois facettes permettent de mieux comprendre l’exercice professionnel du tatouage, largement autogéré alors même qu’il est progressivement encadré par des règles administratives et/ou sanitaires. Note de contenu : Remerciements. Introduction. Partie I : Savoir-être. 1. Jeux de rôles. 1.1. Les studios de tatouage, des professionnalités mises en scène. 1.2. Faire « bonne figure » : être tatoué, disponible et expert. 1.3 Des « entrepreneurs de la morale » ? La négociation des projets
2. Un travail de coproduction. 2.1. Gérer les émotions : l'incorporation d'un savoir-être. 2.2. Catégoriser pour mieux servir et subsister. Partie II : Savoir-faire. 3. Le goût du figuratif. 3.1. La réglementation des studios : une focale sanitaire réductrice
3.2. Tatouer : maîtriser des savoir-faire indissociables mais hiérarchisés. 3.3. Des qualités graphiques des tatouages à la qualification des tatoueurs. 4. L'efficacité des images. 4.1. Vers une standardisation des contenus ? La circulation des sources d'inspiration
4.2. La construction d'un univers visuel : jeux d’influence. Partie III : Savoir-vivre. 5. Persévérer pour entrer. 5.1. Les barrières à l’entrée : processus informels de sélection. 5.2. Du don de soi pour subsister dans un monde de concurrence. 6. Le grand, le bon et l’amateur. 6.1. Le poids des réseaux de sociabilité dans les formes de la reconnaissance. 6.2. L’art du métier, la prévalence de l’excellence sur l’exceptionnalité. Conclusion.Exemplaires(1)
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